Le 1er portail qui rassemble l'exhaustivité des sites internet dédiés à la reprise / cession d'une entreprise en France.

Reprendre une entreprise: Le guide

LES DERNIERS CONSEILS

Comment réussir la reprise d’une entreprise

Comment réussir la reprise d’une entreprise ?

La reprise d’une entreprise est l’aboutissement d’un projet réfléchi au niveau de son financement, de la place de l’entreprise dans le secteur économique et concurrentiel, des besoins du client « cible » de

Monter un projet de reprise d'entreprise - reprisedentreprise.com

Monter un projet de reprise d’entreprise

 Alors que vous avez fait le choix de reprendre une entreprise et son activité plutôt que de créer une nouvelle structure pour y installer votre propre business, vous devez valider

Comment reprendre une entreprise - reprisedentreprise.com

Comment reprendre une entreprise ?

Si votre but est de reprendre une entreprise, l’avancement du projet est soumis à différentes étapes :  Etape 1 – Réfléchir et analyser : rédiger un projet de reprise

Reprendre une entreprise, même s’il peut sembler tentant de ne pas partir de zéro, n’est pas aussi simple qu’il paraît. En effet, la période de transmission est généralement comprise entre 12 et 18 mois, ce qui implique une collaboration étroite entre l’entrepreneur cédant et vous-même, repreneur. Du diagnostic de l’état financier à l’activité dans sa globalité, plusieurs questions doivent être abordées durant ce laps de temps. Comment reprendre une entreprise ? Comment vérifier la bonne santé d’une entreprise ? Quelles sont les démarches administratives d’une reprise d’entreprise ? Découvrez notre guide et conseils.

Comment reprendre une entreprise ?

Reprendre une société ne s’improvise pas. À travers différentes étapes, il est nécessaire de préparer le terrain et de réfléchir au projet dans son ensemble. En résumé, cela passe par :

– une réflexion et analyse du projet de reprise d’entreprise et des motivations que vous avez en tant que repreneur ;
– un ciblage des sociétés à reprendre, même si statistiquement, les entreprises sur le marché de la reprise sont essentiellement des TPE de moins de 5 salariés ;
– un apprentissage avec le chef de l’entreprise cédée, pour faire connaissance avec l’équipe en place et disposer des données et informations indispensables ;
– un engagement officiel du repreneur à l’entrepreneur cédant, par le biais d’une lettre d’intention qui assure au vendeur vos intentions avec son entreprise ;
– un audit d’acquisition, qui passe en revue plusieurs points inhérents à l’entreprise (actif et passif, comptabilité, fiscalité, volet social, état financier, etc.) ;
– un protocole d’accord signé, à savoir un véritable acte juridique, qui résume les négociations entre le vendeur et le cédant (prix de cession, obligations, droits, etc.).

Comment vérifier la bonne santé d’une entreprise ?

Reprendre une entreprise, c’est avant tout s’assurer du bon état de santé de celle-ci, car il serait dommageable de signer un acte officiel de reprise sans avoir quelques données indispensables.

Pour commencer, il faut vérifier son état financier, grâce aux documents de la comptabilité (bilans, règlement des charges, versement des salaires, factures des fournisseurs, ou même carnet des commandes à venir). À noter que les salariés peuvent également être sources d’information : leur comportement est souvent représentatif de la santé d’une société. Turn-over, ancienneté, formations, plusieurs critères peuvent vous mettre la puce à l’oreille de l’état général sur le plan social.

De même, la réalisation d’un diagnostic, ou d’un audit, permet d’analyser d’autres facteurs. C’est par exemple le cas :

– de l’état des locaux et du matériel de production ;
– de l’analyse des stocks ;
– de l’état du marché ;
– des prix de la concurrence ;
– des réseaux sociaux de l’entreprise ;
– du chiffre d’affaires nécessaire pour mettre, potentiellement, les comptes à l’équilibre ;
– des besoins en financement ;
– des normes du secteur d’activité ;
– des marques et brevets déposés ;
– des contrats et crédits en cours ;

Enfin, il faut aussi faire les vérifications nécessaires auprès des documents administratifs, que ce soit l’extrait Kbis de moins de 3 mois, le bail de location et ses clauses, les heures supplémentaires réalisées et non payées, ou encore l’existence de contrats « intuitu personae » entre l’entrepreneur vendeur et un organisme de crédit.

Quelles sont les démarches administratives d’une reprise d’entreprise ?

Lorsque la décision de reprendre une entreprise est actée, l’entrepreneur repreneur doit procéder aux formalités administratives de reprise. Ainsi, jusqu’à la signature du contrat avec le vendeur, ces démarches passent par exemple :

– par le déblocage de fonds, peu importe l’origine des apports de l’entrepreneur repreneur ;
– par la signature du protocole d’accord, comme nous l’avons vu un peu plus haut, sorte de compromis de vente qui reprend l’ensemble des éléments inclus dans la négociation ;
– par la rédaction de l’acte de reprise, soit par acte sous seing privé, soit par acte notarié.

Après la signature du contrat de reprise avec l’entrepreneur cédant, ces formalités évoluent quelque peu vers des démarches administratives relatives au statut juridique de l’entreprise. Il s’agit entre autres choses :

– d’enregistrer le contrat de vente au service des impôts des entreprises ;
– de modifier les statuts de l’entreprise ;
– de renseigner le registre des mouvements des titres pour une SAS et une SA ;
– de déposer le formulaire M3 pour une SARL et une EURL ;
– de publier une annonce légale ;
– de déposer le dossier de reprise au greffe du tribunal de commerce ou au CFE compétent.

Le 1er portail qui rassemble l’exhaustivité des sites internet dédiés à la reprise / cession d’une entreprise en France

MENU